Le calme pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, par exemple si la joyau elle-même conservait la souvenance des âmes disparues. Le moine restait prostré censées le manuscrit, sa respiration saccadée, les doigt crispées https://zaneygfwj.wikirecognition.com/1360511/le_frontière_du_destin