Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient rapproché de la carcasse rouillée d’une ancestrale cabine téléphonique. Posée seule au borne d’une promenade oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une sirène https://alexistkuem.blazingblog.com/33923356/la-mémoire-effacée