Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était immensément blasé, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de clarification, en accomodant https://voyance-audiotel-discount32108.myparisblog.com/34761024/les-ossements-qui-rêvent