Les journées passaient dans un classification pérenne, rythmés par la luminosité pâle du nord et les bouleversements ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient légèrement, en spirale, par exemple si le ciel lui-même les aspirait à tatouer des symboles invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au coeur https://cesarlnomj.blogsidea.com/40630979/le-coeur-des-corneilles