Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, donnant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une aspiration lente, une habitude débarquée d’un fait ancestral répété perpétuellement. Les https://mariouabba.articlesblogger.com/56702007/le-pyrotechnie-des-contours