Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre arrondie en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une accoutumance apparue d’un geste ancestral répété perpétuellement. https://emilianonajqw.blogdun.com/34892328/le-bouquet-des-contours