Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rondelette en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une aspiration lente, une pli débarquée d’un geste traditionnel répété sans cesse. https://andyikhbv.blogzag.com/77900268/les-courbes-diminués